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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 06:00
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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 06:06

Me voilà tout à l'heure sollicité, en tant que frère de dieu, pour financer (en partie)le film de Rodolfo Espinoza Rios, "étudiant en Cinéma à Paris VIII, et  qui doit réaliser un film dans le cadre de son master professionnel, "sic. Un film qui s'appelle, s'appellera, s'appelerait . ...SA SAINTETE !.. "Su Santida"

Pourquoi pas ??Allez, je vous passe l'info..

Vous en ferez ce que bon vous semble..Alea jacta est..

 

  Sa sainteté » raconte les péripéties, dans les années soixante, d’un village composé de métis et d’indiens, qui doit accueillir un archevêque, venu couronner la Vierge du village considérée comme miraculeuse.

L’archevêque refuse de loger au sein de la famille la plus riche des environs, qui vit dans une hacienda, car un membre des générations précédentes a été excommunié. Le prêtre du village essaie alors de le faire loger par un autre habitant relativement aisé, mais n’y parvient pas, les métis ayant décidé de se solidariser avec la famille méprisée. La corvée sera donc attribuée à un indien, Rafaël, paysan pauvre, qui n’arrive pas à refuser la proposition du prêtre. Un personnage un peu fou, Orphée,  français, doux dingue, et son chien Lucifer mettra en exergue le ridicule de cette situation. Pour finir, l’archevêque sera mal reçu par le village, et hébergé par Rafaël dans des conditions très précaires. Il partira, furieux, sans avoir pu couronner la vierge.

A propos du porteur de projet

La présentation de l’auteur du projet est un exercice difficile et périlleux. Elle doit avoir pour effet d’inciter les visiteurs à délier leurs bourses, ce qui est une gageure en ces temps de crises. De plus, si le lecteur est arrivé au stade de la présentation de l’auteur, et ne s’est pas encore précipité sur paypal, c’est peut-être parce qu’il n’a pas encore été entièrement convaincu par le projet. Comment faire ?

 

http://fr.ulule.com/su-santidad/

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 06:00

Chatouille le, si tu oses !..

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 08:00

Aujourd'hui Dietrich Bonhoffer

Une fois n'est pas coutume, en ces temps de pâques,

temps de la paix universelle, voici l'histoire rapidement contée

d'un pasteur allemand et luthérien qui mérite bien l'attention que vous lui porterez. Dietrich est né en 1906, dans une bonne famille chrétienne de Breslaue t ses parents intellectuellement brillants et humanistes lui transmirent naturellement leurs valeurs d'attention à autrui, d'aide aux nécessiteux, d'ouverture aux autres. Après de brillantes études dans la langue hébraïque, c'est vers la théologie qu'il se tourna naturellement, devenant pasteur dans une Allemagne que la crise de 29 poussait résolument dans le nazisme..On est là en 1935..Et Dietrich Bonhoffer va entrer dans l'histoire. En opposition à l'église luthérienne allemande qui collabore avec le régime hitlérien, un groupe de religieux et de clercs, se regroupent dans l'organisation de " l'Eglise Confessante" qui dénonce la dérive du pays vers l'horreur et les dangers du nazisme pour le pays, l'Europe et le monde..Bien intégré dans le mouvement de résistance, notre pasteur anime pe,nndant plusieurs années des séminaires anti nazis à Finkelwalde (aujourd'hui, Zdodje, en Pologne) malgré une interdiction d'enseigner décetée par le régime nazi..Menacé, grâce  à des appuis dans la hierarchie militaire hostile à Hitler  il peut s'enfuir aux USA , mais en revient en 1940 et on retrouve son nom dans la liste des conjurés de l'attentat contre le dictateur  du 20 juillet 1944, alors qu'il est déjà en prison depuis 1943 pour l'ensemble de son oeuvre qu'il appuye toujours sur l'enseignement de Jésus..Transféré alors dans les prisons de la Gestapo, torturé, puis déporté à Buchenwald,  le saint homme ne fut pas oublié par Hitler au seuil de la débacle..Deux semaines avant que les chars de Patton ne franchissent le Rhin, Dietrich Bonhoffer et ses compagnons  furent transférés pour y être pendus le 9 avril 1945 au camp de Flossenbürg.

 

Pour l'histoire plus complète..

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dietrich_Bonhoeffer

   
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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 06:06
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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 08:00

Aujourd'hui, Saint Soukias et ses potes

Pour celles et ceux qui suivent, ces deux derniers jours furent assez gore pour qu'on en fasse le reproche au scribaillon tondu qui les mit en ligne..Reproches acceptés..Et Mea culpa.......Voici aujourd'hui, l'histoire souriante des princes d'Arménie..  

Lucien, Polyeucte,Quadat, Antiochus,Iksoron, Memmas, etc..vivaient princement, tous chevaliers qu'ils étaient sous les ordres du Prince Soukias, au service D'Artèse, le Roi qui règnait sur l'Arménie en ce premier siècle de l'ère chrétienne..Entre deux joutes, ils allaient de temps à autre trousser la gueuze dans les villages du royaume et se remplir les poches à quelque magot volé aux marchands itinérants, et la panse dans les auberges qui leur offraient gîte et couvert à l'oeil..La belle vie, quoi..Bidasse, en ce temps là, c'était tout de même la planque, d'autant que pour éviter la mort, il suffisait de courir hors de portée de la lame ou de la flèche..plus simple que de se cacher d'un missile  de croisière ou d'une simple rafale de famas..Mais, retrouvons nos beaux capitaines..Un jour qu'ils étaient en virée, ils tombent sur Saint Voskeank, envoyé du ciel directement de la Terre Sainte, où il aurait vu la miraculeuse gloire de Dieu..jouant les kakous comme à leur habitude, ils eurent la surprise de ne pouvoir attraper le bonhomme qui, bondissant comme un Zébulon, les narguait avec son cruxifix et ses évangiles..La suite va vous sembler logique..Voskeank les fit asseoir en cercle et se mettant au milieu d'eux, il leur parla longuement de Jésus et de son enseignement et pour fini, il les baptisa tous..Revenant au palais, leur conduite inhabituelle mit la puce à l'oreille de la Rene Sathanik qui vira le prophète! Les princes l'accompagnant, la petite troupe fut pourtant rattrapée par les sbires de la reine qui se garda le saint au frais pour l'apéro du lendemain, laissant la clique princière regagner ses appartements. le lendemain, Voskeank fut mis tout nu et attaché à un poteau où il subit moult coups de fouets, puis on lui arracha la peau du dos et on lui enfonça un suppositoire bien profond entre les fesses, si loin qu'il en eut les incisives brisées de l'intérieur..Soukias, réussit toutefois à récupèrer les outils liturgiques du martyr et, armé de sa nouvelle foi quitta cette ville du démon pour aller se cacher dans la montagne avec ses 18 camarades..On ne les retrouva plus pendant 44 ans..Quarante quatre ans de vie retirée du monde passés à prier Dieu dans un monastère troglodyte qu'ils avaient creusé avec leurs couteaux de chasse..Leur légende veut que des anges venaient régulièrement leur apprendre de nouveaux chants et que leur chorale remplissait les nuits de pleine lune de papillons scintillants qui emmenaient partout dans le pays les notes divines..

Puis il advint que le roi Artèse mourut.. Son successeur, Sarkosius Premier (et dernier) se mit en tête de retrouver ces mystérieux princes  devenus légendaires en son royaume en vue de se les mettre dans la poche pour l'aider à faire remonter des sondages en chute libre..Lors de la première pleine lune d'Avril 130, remontant la piste des papillons musicaux, l'armée découvrit les saints hommes..Mais il fallut aux soldats faire des efforts pour reconnaître, dans ce cercle d'êtres poilus et nus qui entonnaient sous la lumière nocturne des louanges à Dieu au seuil de leur chapelle, les princes du royaume qu'ils recherchaient..Ramenés à Sarkosius, lavés, peignés, rasés et habillés, celui ci leur promit tous les plaisirs du monde s'ils reprenaient du service dans son armée..Mais nos ascètes l'envoyèrent bouler et déclarèrent : « Nous sommes serviteurs de Dieu et le temps de notre récompense approche. Il ne nous est pas possible de perdre cette occasion et de nous rendre étrangers au Seigneur! ». En gros: ", casse toi, pôv' khon !"

Sarkosius 1er le prit très mal et condamna les chrétiens à la mort..

Deux d'entre eux s'échappèrent cependant et purent mettre en terre les 17 cadavres écorchés, démembrés, brûlés partiellement et, pour certains, déchiquetés par les fauves du jardin royal..

On raconte que leur tombe régulièrement entretenue vit un jour naître une abondante source d'eau fraîche entre ses pierres qui y coule encore.,

 

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 06:06

TU VIENS, CHERI ? 









 

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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 08:00

 

Aujourd'hui Sainte Lydiwine.

Dite aussi la vierge constipée de Schie dames..

 

Attention, si vous avez frémi précedemment aux malheurs de Marguerite de Metola, préparez vous à avoir des noeuds dans l'estomac et une sensation voisine  de celle d'un voyage en bus au Crêt de la Neige après un repas arrosé..LydiWine va nous démontrer que la résistance humaine à la déchéance physique peut être sans limites..Voici l'histoire telle que contée dans les anales.

.Dans la verte Hollande du XIV ème siècle, naquit la petite LydiWine, fille espèrée, désirée, voulue, après 15 grossesses dont 10 fausses couches qui avaient toutes abouti à la naissance de petits mâles.. On l'appela LydiWine, car elle avait une petite tache de vin en forme de papillon au bas des reins, là où commence  l'interdit..Cettre gâterie de la nature ne l'empêcha pas de grandir et son corps se développa harmonieusement, développant aux bons endroits les courbes qui convenaient.

Comme elle aimait patiner sur les canaux gelés de Schiedam et que les hivers de cette période étaient longs et froids, elle développa une musculature forte et toute en longueur qui attiraient les regards des garçons quand, l'été, elle allait nager nue avec ses cousines du bourg..Son visage, rose et poupon qu'encadraient de longs cheveux blonds qu'elle coiffait en macarons symétriques était comme un écrin de velours pour les deux diamants bleus de son regard..Lydiwine était superbe..Mais Lydiwine était folle de Jésus. Et Lydiwine avait décidé de rester vierge et d'entrer dans les Ordres dès que l'âge le lui permettrait. Mais un jour, Lydiwine sentit tressaillir en elle l'appel de la chair alors qu'achetant une brioche pour son quatorzième anniversaire, elle croisa le regard du mitron qui jaugeait avec métier la rondeur de ses miches à travers l'étoffe fine de son chemisier. Alors Lydiwine, demandant conseil à sa mère, fit appel à Dieu pour résister au printemps de ses sens, priant pour devenir laide et repoussante aux yeux des mâles....   

Le lendemain, sur la glace perfide du canal de l'Uretre,

elle fit une mauvaise chute et perdit connaissance. On lui trouva une côte cassée et de curieux hématomes qui faisaient comme de longues pattes d'araignées à son petit papillon fessier..Comme elle ne pouvait plus bouger, on la mit au lit pour une quarantaine d'années... 

Au bout de trois jours, la blessure aux côtes s'infecta grave et, purulente et suintante; gagna toute la poitrine et le dos, mêlant ses traces jaunâtres aux longs filaments roses qui venaient du bas. Souffrant tellement de son état, la petite Lydiwine poussait toutes les 15 secondes de longs cris de bête blessée qui ponctuaient le temps de la maisonnée d'effrayants rappels à la précarité de l'existence humaine..Au bout d'une semaine, elle ne pouvait plus se tenir ni couchée, ni debout, ni assise..On fit appel au bourrelier Channelo, de retour de Florence pour lui confectionner un harnais, qui, passé sous ses bras et accroché au ciel de lit, lui faisait comme un hamac dans lequel, elle allait vivre désormais, comme une araignée, plus proche du Ciel que de la terre..Une heure par pour, on la décrochait  et on la posait par terre où elle rampait comme une chenille, ses jambes et ses bras hors d'usage ne lui étant plus d'aucune utilité, vu qu'ils avaient été eux aussi atteints par l'infection et que deci delà d'horribles scrofules les coupait à moitié, décomponsant les muscles et leur enlevant toute consistance. Elle profitait de ces moments vernaculaires pour se soulager au coin du tas de fumier de la ferme voisine, sans honte malgré la nudité imposée par son intolérance aux vêtements.. Au bout de quelques semaines, ses plaies se remplirent d'asticots qui revenaient sans cesse, même si on nettoyait la pourriture et en éloignait les mouches.. Dans la chambre, l'odeur d'équarissage était insupportable, et seule sa mère avait encore le courage de l'approcher.. Lydiwine avait réussi, elle faisait horreur et on ne l'aimait pas que pour son corps..Au bout de deux mois, tout mouvement ne lui fut plus permis, la pourriture ayant gagné le coprps entier, la moelle épinière y était passée aussi.. On avait renoncé à enlever les asticots et la jeune fille dans dons son hamac n'était plus qu'une masse grouillante, putride et puante..Seul son visage était un peu épargné..Mais sa bouche qui psalmoniait des prières à longueur de journée n'acceptait plus comme nourriture que deux hosties par jour, ce qui sembla suffire pour maintenir ce bouillon de culture squlettque en vie..Dieu veillait au grain apparemment, et ça arrangeait bien la patiente martyre, car ainsi, elle n'avait plus rien à vomir..

Enfin, Pâques 1433 mit fin au calvaire.. Au petit matin, Lydiwine la plaie expira dans un grand cri..Aussitôt, son visage reprit sa beauté originelle et on corps, guéri miraculeusement  exhala de délicieux parfums de rose et de lys tandis que du ciel descendait le doux carillon du choeur des anges. 

 

 

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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 06:06
   -Abrite toi si tu l'oses 
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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 09:09
    Aujourd'hui, bienheureuse Marguerite de Metola  
  Préparez vos mouchoirs, voici venir la triste histoire de Magarita, la Magguy de Metola,dont la vie pleine de souffrances fut une insulte à l'humanité présumée de la pensée divine.
Pauvre Margarita .. A peine conçue d'un viol à moitié consenti un soir de lundi de Pâques bien arrosé au vin de Naples, la fillette encore foetus semblait morte dans le ventre de sa mère que le papa battait tous les jours sans savoir vraiment pourquoi, juste par habitude..La fillette, prudente, se reculait aussi loin qu'elle le pouvait dans la matrice maternelle, se recroquevillant derrière le coccyx qu'avait heureusement pour elle, très développé, sa maman. Et, finalement, par la force de l'instinct de survie, elle resta finalement là, 7 mois et demi, planquée, se bouchant les oreilles de ses petites mains à trois doigts pour ne pas entendre les obscénités du père et les gémissements de sa mère.Puis, l'âge avançant, vers le 6 ème mois, comprenant que l'extérieur était bien horrible en entendant sa mère décrire avec ses soeurs la misére de ce 13 éme siécle italien pas encore renaissant, elle décida de ne pas ouvrir les yeux sur cet enfer et une deuxième paupière couverte d'écailles de lézard vint doubler le modéle standard, s'y soudant d'une façon irrémédiable.
A sept mois, comprenant que la reproduction humaine passait par l'orifice qui lui séparait les cuisses et celles de sa mère, petite fenêtre ouverte vers l'univers que son père défonçait tous les samedis au milieu d'un tempête de cris de rage dont les échos faisaient des vaguelettes dans son petit monde liquide, Margarita décida de fermer cette ouverture du mal. Par la force de la volonté, elle mit un double verrou musculaire à son hymen et put enfin naître..
Voyant le bestiau gros comme un lapereau sortir tout seul à la lumière et avec pas mal d'avance, ses parents se penchèrent sur la chose..
Petite, toute recroquevillée comme une crevette grise bien cuite, ses mains à trois doigts prolonfgeaient des bras dont on devinait qu'ils n'auraient jamais la taille habituelle..Quant aux jambes, idem, de petits bouts de membres posés là, en bout d'un bassin  tordu en hélice..Trois jours plus tard, comprenant qu'elle n'ouvrirait jamais ses paupières écailleuses et que ses oreilles semblaient avoir gardé chacune un doigt entre le marteau et l'enclume, ses parents la gardèrent quand même, mais, le jour des 14 ans, ils l'abandonnèrent sous le porche de l'église Sainte Marie de la Miséricorde Absolue sise dans cette bonne ville de Metola..
Elle aurait été recueillie alors par une dame de la cité, bonne comme le pain et pas du tout effrayée par son nanisme autistique..Action divine, miracle marial, on ne sait, mais, en deux jours de bons traitements, le corps de la naine, bien que restant de taille réduite, se redressa, ses oreilles s'ouvrirent et la gamine se mit à parler et à chanter des louanges à Dieu, à Jésus et Marie..Ce prodige lui donna au sein de sa nouvelle famille une importance qu'elle n'avait jamais eu et elle en devint vite un membre à part entière dont on écoutait les conseils, et auprès de laquelle on savait trouver le réconfort et la compagnie de Dieu.
Le laideron était devenu fréquentable, et sa proximité avec le Ciel lui attira les bonnes grâces des soeurs dominicaines du couvent voisin qui réussirent à lui faire porter le voile pendant 33 ans encore, trente trois ans de prières, de visions, de visites aux malades et aux prisonniers, trente trois ans pour démontrer qu'un foetus raté peut devenir une grande personne..  
            
N'est ce pas, Ferdinand ,
n'est ce pas, DURDUR?    
 
         
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